Vue du camp de déplacés situé le long de la piste d’atterrissage de l’aéroport M’Poko à Bangui, qui servait
de refuge aux populations fuyant les violences intercommunautaires. En 2013, après l’entrée des forces
de la Séléka sur Bangui, des milliers de personnes
ont choisi de se réfugier aux abords de l’aéroport afin
de bénéficier de la protection des forces françaises Sangaris et de celles des Nations Unies qui avaient notamment pour mission de de sécuriser l’aéroport. Au plus fort de la crise, le site abritait pas moins de 100 000 personnes. Le camp
a été fermé en janvier 2017 alors qu’il recensait encore
28 000 habitants. Les habitants du camp ont reçu
la modique somme de 75 à 150 euros par famille
(en fonction de la taille du ménage) pour retourner dans leurs anciens quartiers. Au moindre trouble, les populations ont cependant tendance à trouver refuge aux abords
de l’aéroport.
View of the refugee camp stretching alongside the landing strip of Bangui’s M’Poko Airport, which became a shelter for people fleeing inter-community violence. In 2013, after Séléka forces entered Bangui, thousands encamped near the airport to take advantage of protection by French Sangari forces, and later United Nations troops, whose mission included ensuring airport safety. At the height
of the crisis, the camp held at least 100,000 refugees.
The site was closed in January 2017, when the number had dwindled to 28,000. The camp’s inhabitants received the modest sum of $80 to $105 per family (depending on household size) to return to their previous neighborhoods. Nonetheless, at the first sign of strife, residents tend
to take refuge near the airport.
Vue du camp de déplacés situé le long de la piste d’atterrissage de l’aéroport M’Poko à Bangui, qui servait
de refuge aux populations fuyant les violences intercommunautaires. En 2013, après l’entrée des forces
de la Séléka sur Bangui, des milliers de personnes
ont choisi de se réfugier aux abords de l’aéroport afin
de bénéficier de la protection des forces françaises Sangaris et de celles des Nations Unies qui avaient notamment pour mission de de sécuriser l’aéroport. Au plus fort de la crise, le site abritait pas moins de 100 000 personnes. Le camp
a été fermé en janvier 2017 alors qu’il recensait encore
28 000 habitants. Les habitants du camp ont reçu
la modique somme de 75 à 150 euros par famille
(en fonction de la taille du ménage) pour retourner dans leurs anciens quartiers. Au moindre trouble, les populations ont cependant tendance à trouver refuge aux abords
de l’aéroport.
View of the refugee camp stretching alongside the landing strip of Bangui’s M’Poko Airport, which became a shelter for people fleeing inter-community violence. In 2013, after Séléka forces entered Bangui, thousands encamped near the airport to take advantage of protection by French Sangari forces, and later United Nations troops, whose mission included ensuring airport safety. At the height
of the crisis, the camp held at least 100,000 refugees.
The site was closed in January 2017, when the number had dwindled to 28,000. The camp’s inhabitants received the modest sum of $80 to $105 per family (depending on household size) to return to their previous neighborhoods. Nonetheless, at the first sign of strife, residents tend
to take refuge near the airport.