![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_14-504x508.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_13-504x505.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_12-504x507.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_11-504x508.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_10-504x511.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_09-504x508.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_08-504x509.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_07-504x504.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_06-504x756.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_05-504x752.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_04-504x509.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_03-504x188.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_02-504x509.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_01-504x506.jpg)
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_14.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_13.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_12.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_11.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_10.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_09.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_08.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_07.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_06.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_05.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_04.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_03.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_02.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
![](https://www.stephangladieu.fr/wp-content/uploads/2018/09/sg_mai-mai_01.jpg)
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC).
Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau.
Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili).
La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels.
Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
/
MosaïqueMosaic
LégendeLegend