Stéphan Gladieu

 / 
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
Les Maï-Maï, ou parfois Mayi-Mayi, est un terme général décrivant des groupes armés actifs au cours de la Deuxième guerre du Congo en République démocratique du Congo (RDC). Le terme Maï-Maï provient de Maï ou Maji, eau dans les langues bantoues de la région. Il fait référence à la révolte Maji Maji intervenue en 1905-1907 au Tanganyika, lors du mouvement populaire de rébellion contre l'occupant allemand dont les combattants étaient protégés par les propriétés magiques de l'eau. Les guerriers Maï-Maï se croient invulnérables aux armes à feu. Ils s'aspergent d'une potion magique censée faire couler les balles sur leur corps comme de l'eau (maï en swahili). La plupart se constituèrent pour résister à l'invasion des forces armées du Rwanda. Ils ont été actifs dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Bien que les Kivus aient été militarisés de longue date, en particulier parmi les minorités Batembo et Bembes, l'instabilité dans la région amena les habitants à constituer les milices Maï-Maï. Que ce soit en tant que groupe unis ou en tant que groupes individuels. Les groupes repris sous l'appellation « Maï-Maï » incluent des forces armées dirigées par des seigneurs de guerre, des chefs tribaux traditionnels, des chefs de village, et des dirigeants politiques locaux.
/
MosaïqueMosaic
LégendeLegend