Stéphan Gladieu

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Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
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Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
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Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
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Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
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Les Surmas appelé aussi Suri sont des habitants du sud de l'Éthiopie vivant dans la vallée de l'Omo. Les Suris pratiquent des modifications corporelles, telles que les peintures rituelles et le port de labrets chez les femmes. Encouragés dès leur plus jeune âge à imiter les adultes, les enfants Surma s’enduisent le corps et le visage de pâtes calcaires diversement pigmentées suivant la roche utilisée, selon des contours d’une extrême fantaisie. Certains motifs font allusion à la nature ou aux animaux : robes des vaches, faciès des singes colobes, pelage des prédateurs… Lorsque plusieurs personnes se peignent de façon identique, cela signifie qu’ils sont liés familialement ou d’amitié. Ces décorations répondent à un code social bien établi, et il existe diverses façons de se peindre selon le but recherché : séduction ou peintures de guerre devant effrayer l’ennemi. La coiffure est un autre élément prépondérant dans la fierté des guerriers Surma. Ils se rasent le crâne avec des lames de rasoir en laissant quelques lignes décoratives. La largeur du labret donne une estimation de la dot dont aura à s’acquitter tout prétendant. La dot peut représenter jusqu’à une soixantaine de bêtes. Les labrets en bois peuvent être de forme trapézoïdale ou demi sphérique, tandis que ceux en argile seront généralement ronds. En âge de se marier, la jeune fille Surma, après s’être fait percer sa lèvre et extraire des dents de la mâchoire inférieure, mettra tout en œuvre pour distendre cet orifice en y insérant des labrets successifs, de taille toujours croissante. En général, toutes les filles d’une classe d’âge se font inciser en même temps, et lorsque la coupure pratiquée a cicatrisée, le village célèbre cet événement par une fête nommée Zigroo. On y boit le bordray, sorte de boisson fermentée à base de farines de sorgho et de maïs blanc. Pour les hommes, il est d’usage de procéder à des scarific
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